Commentant la décision du bureau du Parlement de dénoncer la violence perpétrée à son égard par par le président de la coalition Al Karama Seif Eddine Makhlouf , la présidente du PDL, Abir Moussi, a déclaré que le fait de reconnaître qu’il y ait eu violence et de la dénoncer est loin d’être suffisant.
La députée a estimé que cette reconnaissance doit être suivie d’un engagement stipulant que la violence n’a pas sa place sous la coupole du Parlement, en particulier à l’égard de la femme parlementaire.
Moussi n’a pas omis de signaler que le communiqué de condamnation a été très dur à obtenir, rappelant qu’il n’a été gagné qu’après 8 heures de débat, à cause de la réticence des représentants du parti Ennahdha et de la coalition Al Karama.
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