Le directeur général du Center for American Progress Gordon Gray a commenté sur son compte Twitter ce qui se passe aujourd’hui en Tunisie.
D’après lui ” La nouvelle constitution adoptée en 2014 est née suite à un large débat national qui visait à conjurer le spectre de l’autoritarisme en mettant en place de véritable freins et contrepoids”.
En ce qui concerne la convocation de l’Ambassadeur américain par le président de la République Kais Saied Gordon Gray a vu en cela ” Une autre indication que le président Saied n’apprécie pas la séparation entre les pouvoirs exécutif et législatif, des éléments clés des constitutions tunisienne et américaine”.
Another indication that President Saied does not appreciate the separation of powers between the executive and legislative branches – key elements of both the Tunisian and U.S. constitutions. (1/2)#Tunisia https://t.co/yfqfP0ouRb
— Gordon Gray (@AmbGordonGray) October 14, 2021
"The new constitution adopted in 2014 emerged from a broad national discussion that aimed to ward off the specter of authoritarianism by ensuring fundamental liberties and real checks and balances."#Tunisia https://t.co/8zwENH5Rn4
— Gordon Gray (@AmbGordonGray) October 14, 2021
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