Le Conseil central du mouvement “Tunisie en avant” tient les 2 et 3 novembre, à Hammamet la réunion de la troisième session après le premier congrès sous le thème “Quelle politique après le 6 octobre?”
Le secrétaire général du mouvement “Tunisie en avant”, Abid Briki, a appelé à abandonner la dépendance aux décrets et à l’abrogation du décret 54, et à faire prévaloir le Code pénal.
Il a ajouté que le moment est venu pour mettre en place la Cour constitutionnelle et le Conseil supérieur de la magistrature, tout en affirmant l’attachement du parti aux objectifs du 25 juillet. Il a souligné que les résultats des élections du 6 octobre ont prouvé que les électeurs ont exprimé leur satisfaction, et ce, malgré la pénurie de certains produits alimentaires de base durant la période précédente.
Abid Briki a déclaré au correspondant de “Tunisie Numérique” qu’il y a des signes positifs et il faut consentir davantage d’efforts.
Evoquant le projet de loi de finances 2025, Abid Briki a estimé que les mesures prévues dans le budget 2025 est un pas positif vers l’établissement d’un État social. Il a, en outre, réaffirmé que “le parti évalue les différents aspects de manière objective et qu’il ne manquera pas de s’attacher davantage aux objectifs du 25 juillet, considérés comme des objectifs progressistes qui mettent la Tunisie sur la voie de la construction d’un État indépendant et souverain, capable de faire face à toutes les formes de déviation et de corruption”.
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