Le 5 décembre 2024, Béchr Chebbi, député du parlement dissous, et Rafik Bouchleka, un dirigeant de la mouvance islamiste Ennahdha, ont été renvoyés devant la chambre criminelle pour être jugés concernant des accusations liées à des activités terroristes.
Les raisons de l’enquête
Cette procédure judiciaire fait suite à des enquêtes ouvertes par la juridiction compétente en matière de lutte contre le terrorisme. Les deux personnalités tunisiennes sont accusées d’implication dans des affaires pouvant être liées à des actes de terrorisme, en raison de certaines déclarations publiques et des publications sur les réseaux sociaux, jugées incitatrices ou ayant fait l’objet de dénonciations.
Un contexte sensible et des accusations graves
Les autorités tunisiennes mènent actuellement des investigations approfondies sur des propos et des actes suspects qui pourraient avoir eu des répercussions sur la stabilité et la sécurité nationales. Béchr Chebbi et Rafik Bouchleka sont désormais concernés par des accusations qui, si elles sont confirmées, pourraient entraîner des peines de prison sévères.
Ces accusations surviennent dans un contexte particulièrement sensible, alors que la Tunisie cherche à renforcer sa lutte contre le terrorisme et l’extrémisme.
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