Face à une récente désignation par les États-Unis, l’Algérie se défend vigoureusement. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a exprimé son mécontentement après que son pays ait été placé sur une liste de surveillance américaine pour de prétendues “violations graves de la liberté religieuse”.
Dans un entretien téléphonique avec le Secrétaire d’État américain Antony Blinken, le ministre a réfuté cette allégation, insistant sur la protection constitutionnelle de la liberté de croyance et de pratique religieuse en Algérie.
Selon un communiqué officiel, M. Attaf a avancé que les affirmations du Département d’État étaient fondées sur des données “fausses et inexactes”, ignorant les efforts soutenus de l’Algérie pour respecter la liberté religieuse.
La réaction algérienne met en lumière la sensibilité des relations internationales quant aux questions de droits et libertés, et la nécessité d’un dialogue basé sur des informations vérifiées.
Que se passe-t-il en Tunisie?
Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!
Commentaires