« Des personnes défendant le droit à l’avortement, notamment celles qui fournissent des soins de santé essentiels, comme les infirmiers et infirmières, les sage-femmes, les médecins, ainsi que les militant·e·s qui distribuent des pilules abortives, sont stigmatisées, intimidées, attaquées et poursuivies injustement en justice, ce qui rend leur travail encore plus difficile et dangereux. » a annoncé Fernanda Doz Costa, directrice du programme Genre, justice raciale, personnes réfugiées et migrantes et défenseur·e·s des droits humains d’Amnesty International à l’occasion de la Journée internationale de l’IVG.
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