La Corée du Nord a signalé ce jeudi une nouvelle “épidémie” d’une maladie intestinale, rapporte l’agence Associated Press, qui cite l’agence d’État nord-coréenne KCNA. Le nombre de personnes infectées par ce que KCNA qualifie “d’épidémie entérique” n’a pas été indiqué.
L’agence n’a pas non plus identifié la maladie. Mais, elle souligne le terme “entérique” renvoie aux maladies intestinales, qui peuvent par exemple être causées par des aliments ou de l’eau contaminés. KCNA rapporte que des “médicaments” ont été fournis par le dirigeant Kim Jong-Un.
Aux prémices de la pandémie de Covid-19 en 2020, la Corée du Nord, l’une des dictatures les plus fermées de la planète, avait été l’un des premiers pays à totalement fermer des frontières après l’apparition du virus dans la Chine voisine.
Pyongyang se vantait de sa capacité à tenir le virus à distance et n’avait signalé aucun cas confirmé de la maladie à l’OMS jusqu’à il y a un mois.
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