L’avocat Ayachi Hammami a estimé que le rejet de la demande de libération de l’ancien ministre de l’Intérieur Ali Larayedh, vise à faire pression sur les opposants et à intimider les citoyens.
Hammami a, sur un autre volet, indiqué qu’aujourd’hui les juges craignent que leur sort ne soit le même que celui des 57 juges qui ont été révoqués, ce qui les obligent à appliquer les instructions de l’autorité.
On rappelle que l’équipe de défense d’Ali Larayedh a soumis une demande de libération la semaine dernière, mais à la fin de la période de quatre jours, le juge d’instruction n’a pas répondu à la demande, ni positivement ni négativement, ce qui est considéré comme un rejet implicite.
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