La ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, a indiqué aujourd’hui 26 décembre, que la loi de finances pour l’année 2023 vise à améliorer le pouvoir d’achat en réduisant la pression fiscale.
À cet égard, elle a révélé que de nombreuses réunions ont été tenues avec des organisations nationales et des organismes professionnels, indiquant que la loi de finances mettra en œuvre plusieurs réformes pour rééquilibrer les finances publiques.
Par ailleurs la ministre a estimé que « La loi de finances 2023 n’est pas une loi de fiscalité », comme dit plusieurs experts en économie.
A croire ces propos, certains observateurs estiment que la ministre des finances parle d’une loi de finances d’un autre pays ou bien autre que celle qu’elle a pris le soin d’élaborer. Car il s’agit au fait d’une loi refusée par plusieurs experts et corporations qui ont fustigé le nombre faramineux des nouvelles taxes et impôts ainsi que les augmentations conséquentes des taxes déjà existantes ainsi que la suppression programmée des subventions, notamment aux carburants de 25,7%, faisant de cette loi de la plus impopulaire.
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