Dans une déclaration accordée à une radio privée, Boutheina Ben Kridis chercheuse en droit international public a indiqué que le président de la République Kais Saied n’a mandaté personne pour parler en son nom, officiellement, mais “le président a cru en nous et nous avons cru en lui, ainsi nos visions sont les mêmes”.
Elle a qualifié d’excessives les craintes relatives au projet de la présidence de la République, précisant que toutes les décisions seront prises suite à un référendum ou à une commission de réformes politiques.
“Le dialogue réunira Kais Saied et les jeunes Tunisiens et portera sur les solutions nécessaires aux défis actuels, notamment sur les plans économique et social”a-t-elle révélé.
Et d’ajouter que le recours à l’article 80 et aux mesures exceptionnelles sont la conséquence directe des abus qui ont eu lieu cette dernière décennie.
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