Le président de l’Assemblée Nationale Constituante, Mustapha Ben Jaafer a déclaré le mardi 05 octobre 2021, que le mardi 05 octobre 2021, que la constitution est critiquée depuis 2014, considérant qu’il s’agit d’un acte humain et qu’il est naturel qu’elle contient un certain nombre de contradictions et de lacunes, notamment au cours de la phase transitoire post-Révolution exceptionnelle et à la lumière des tensions entre familles intellectuelles et politiques.
Au micro de la radio nationale, Ben Jaafer a déclaré que bien que la Constitution soit participative et que sa rédaction ait eu lieu après des consultations et des discussions avec de nombreux partis à l’intérieur et à l’extérieur du pays, elle n’est en aucun le Coran et elle est soumise à amendement à condition de l’appliquer, de la respecter et retrouver ses véritables lacunes.
D’autre part, Ben Jaafer a souligné que ses positions ces dernières années s’alignent avec les décisions du 25 juillet parce que le pays est dans le chaos et a besoin d’un délai pour réorganiser et moraliser la vie politique ainsi que de lutter contre la corruption et établir un véritable dialogue participatif.
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