Suite à l’apparition (providentielle pour certains) du nouveau variant Omicron du covid, la polémique et la guerre commence à grimper en rapport avec la sensibilité de ce nouveau venu aux vaccins existants sur le marché. L’enjeu de la question étant, en effet, énorme, notamment pour les industries pharmaceutiques et les fabricants de vaccins.
Car il faut savoir qu’avec les campagnes de vaccination plus ou moins bien avancées, un peu partout dans le monde, et, aussi, avec le nombre élevés de vaccins mis sur le marché, on est, bientôt, arrivés à saturation et le marché est devenu assez saturé. Dans l’apparition d’un nouveau variant représente, bel et bien, une belle aubaine pour les industriels, qui rêvaient de donner un coup de jeunesse à leur production, et s’ouvrir un nouveau marché. Mais pour que çà soit possible, toujours faut-il qu’on arrive à convaincre le monde que le nouveau variant ne risque pas d’être arrêté par les vaccins déjà en circulation. Ce qui ouvre, forcément de grandes opportunités pour la création et la fabrication de nouveaux vaccins, avec ce qui s’en suivrait comme gains à engranger.
Et les industriels ont, déjà commencé leur offensive, en déclarant, apparemment, sans aucune base scientifique fiable, que l’Omicron se joue facilement des vaccins mis en circulation et qu’ils sont prêts à produire, assez rapidement d’autres vaccins le ciblant.
Mais, voilà, la partie ne leur est pas, pour autant acquise. Car des experts, notamment ceux de d’agence européenne du médicament, ont eu la fâcheuse idée de prétendre que les vaccins anti covid en circulation demeurent efficaces pour prévenir le nouveau variant.
Maintenant la parole sera à l’arbitre suprême, à savoir l’OMS, qui devra se prononcer sur le sujet.
La question est, maintenant, de savoir si l’OMS sera tentée de s’aligner derrière l’argument scientifique ou derrière l’argument financier ? A suivre…
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