Une étude américaine publiée hier mardi a démontré que les tests antigéniques de dépistage du coronavirus, plus communément appelés, tests rapides, sont très peu fiables, en cas d’infection au variant Omicron.
En effet, de nombreux cas avérés d’infection à l’Omicron sont testés négatifs par ces tests rapides. Ce sont les faux-négatifs.
Ces dispositifs détectant la présence des virus à partir de leurs antigènes de surfaces sont devenus très peu sensibles, du fait, justement, des trop nombreuses mutations de surface que présente ce variant.
L’étude préconise, tout de même, de continuer à utiliser ces tests aux résultats instantanés et au coût très réduit, mais appelle les patients qui sont fortement suspects d’avoir la covid, c’est-à-dire qui ont les symptômes, ou qui ont eu des contacts avec des malades, de ne pas se fier aux tests rapides quand ils sont négatifs, et les appelle à vérifier leur statut par un test RT-PCR, plus fiable.
Laissez un commentaire