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Les représentants des différentes factions opposantes aux décisions de Kaïs Saïed, à savoir, Citoyens contre le putsch, l’Initiative politique et la rencontre nationale pour le salut, se sont réunis hier et après avoir passé en revue la situation politique et sociale dans le pays, ont décidé d’unifier leurs efforts, de trouver des bases pour travailler ensemble en coordination avec toutes les orientations politiques et les composantes de la société civile, en vue de préparer un forum national consultatif
Le mouvement d’Ennahdha a appelé dans un communiqué publié, mercredi, les Tunisiens à célébrer l’anniversaire du 14 janvier qui a couronné la révolution de la liberté et qui a renversé la dictature.
Le parti a, encore, sollicité toutes les forces vives du pays opposées au “coup d’Etat” à unir les efforts et les choix pour un dialogue national global à l’effet de constituer un front politique visant de restaurer la “légitimité” et “la vie démocratique”.
D’après les séquences, l’incendie continue jusqu’à cet instant de décimer l’entrepôt de la société d’import des déchets d’Italie.
Rappelons que ces déchets ont fait objet d’un procès judiciaire en Italie et le parti tunisien a remporté sa cause.
Reste à savoir, à qui profite le crime?
Le secrétaire général du syndicat des forces de sécurité intérieure, Ezzeddine Fathalli, a assuré hier à la presse, que les forces de l’ordre ont réussi à intercepter, la dernière période, des ressortissants issus de l’Afrique sub saharienne, venus à travers l’immigration clandestine, et qui se sont avérés être des éléments de l’organisation terroriste islamiste, Boko Haram. Une des organisations les plus sanguinaires du moment, qui sévit en Afrique sub saharienne.
S’exprimant au micro de Tunisie Numérique, Nejmeddine Jouida, coordinateur général du syndicat des enseignants et chercheurs universitaires “IJABA” a qualifié le projet de l’Université française de la Méditerranée d’illégale.
Il a ajouté que l’ancien ministre de l’Enseignement Supérieur Slim Khalbous, l’ancien chef du gouvernement, Youssef Chahed ainsi que certains directeurs d’autres universités notamment Olfa Ben Ouda ont été impliqués dans la mise en place de cette université.
Jouida a indiqué dans la même ligne d’idées que IJABA a tenté par tous les moyens légaux d’empêcher l’installation de cette université étant donné qu’elle était sans fondement juridique.
Notre intervenant a fait savoir que même les étudiants qui se se sont inscrits n’ont pas pu recevoir leurs diplômes.
Jouida a estimé que la justice tranchera dans cette affaire précisant que ces derniers sont en train d’exercer des pressions en vue d’influencer les décisions de la justice.
“Les mouvements que nous avons entamé ont eu pour objectif de défendre l’université publique”, a t-il précisé.
Hafedh Caïed Essebsi, le fils de l’ancien président de la République, Béji Caïed Essebsi, est intervenu hier sur une chaine TV, en réaction à la décision de la ministre de la justice de demander une enquête judiciaire sur les circonstances de son décès, que ce dernier savait qu’il était menacé. Il aurait même déclaré à ses enfants qu’il savait qu’on lui avait mis une « bombe à retardement » dans son corps.
HCE a confirmé que l’ancien président Ben Ali avait envoyé un individu à BCE pour l’avertir du fait qu’il détenait des informations certaines qu’il était ciblé par un projet d’assassinat.
Il a ajouté que ni lui ni son père n’ont, alors, pris cet avertissement au sérieux !
Dans le cadre de la construction d’une usine de traitement de gaz à Tataouine, la société EPPM (Engineering Procurement & Project Management) à Tataouine a émis hier un communiqué dans lequel elle a annoncé l’acceptation des dossiers de 177 agents ayant participé au concours de recrutement.
La société a mis à la disposition des candidats qui seront retenus, l’ensemble de documents requis.
Les contrats seront livrés à leurs destinataires à partir du 6 janvier 2022, selon la même source.
Les personnes souhaitant bénéficier du contrat CIVP doivent attendre l’approbation de la direction régionale de la Formation Professionnelle et de l’Emploi, d’après le communiqué publié.
Dans un communiqué publié hier sur sa page officielle, le parti des Travailleurs a dénoncé la concentration des pouvoirs entre les mains du président de la République Kais Saied depuis le 25 juillet.
Dénonçant également les nouvelles mesures, le parti a appelé les forces démocratiques et progressistes à revoir leurs positions quant au “coup d’Etat” mis en place par Kais Saied.
Mettant en garde contre le régime autoritaire et dictatorial, le parti des Travailleurs a réclamé la création d’un front commun rassemblant des citoyens et des forces “populaires et sociales” appelant à organiser une manifestation le 14 janvier prochain pour commémorer la fête de la révolution et lutter contre la dictature.
Le député Mabrouk Kourchid a annoncé hier que son parti « Erraya al Watania » a été officiellement crée.
Kourchid a précisé dans une déclaration faite à “Tunisie Numérique” que le bureau exécutif de son parti, ses programmes et ses objectifs seront bientôt dévoilés aux citoyens.
Et d’ajouter que ” Notre parti est composé de différentes parties ( des syndicalistes, des Rcidistes, des indépendants, des gauchistes(…).Je cite quelques noms connus à l’instar de Mohamed Iyadh Oudherni, Hedi Ghodhbani, Said Bhira(…)” a-t-il dit.
Le fondateur du parti “Drapeau national” a, encore, affirmé que d’autres personnalités politiques ont également rejoint ce nouveau-né et qu’ils sont ouverts à tous les partis politiques.
Dans une déclaration accordée hier à Tunisie Numérique, le président d’Arraya Al Watania Mabrouk Korchid a commenté la mise en place d’une taxe libératoire de 10% pour les fonds non déclarés dans le cadre de la loi de finances 2022.
Le responsable a rappelé que cette mesure vise des personnes impliquées dans la fraude fiscale et celles qui sont actives dans l’économie parallèle dans le but de lutter contre l’évasion fiscale.
Korchid a révélé que cette décision n’encouragera personne à se diriger vers les banques par peur de la poursuite judiciaire pour le blanchiment d’argent.
Le Secrétaire général de la section régionale de la Fédération de l’enseignement secondaire à Béja, Mourad Ourhani a indiqué que le retard de paiement des salaires dans la fonction publique a été intentionnellement provoqué par le gouvernement et le ministère de l’Education.
Dans une déclaration accordée à Tunisie Numérique, l’intervenant a appelé l’Etat à préserver sa crédibilité et chercher à récupérer ses avoirs spoliés afin d’éviter tout retard de paiement de salaires.
Qualifiant cela d’inacceptable, Ourhani a déclaré que ces enseignants avaient des engagements financiers à honorer que ce soit envers les banques ou autres soulignant la nécessité de résoudre ce problème dans les plus brefs délais.
S’exprimant au micro de Tunisie Numérique, le Secrétaire général de la section régionale de la Fédération de l’enseignement secondaire à Béja, Mourad Ourhani a révélé que la décision de soustraire un jour de salaire a été même appliquée à des enseignants non grévistes bénéficiant de congé de maladie.
Qualifiant les autorités concernées d’irresponsables, Ourhani a appelé ces derniers à revoir leurs décisions en tenant compte des situations financières des enseignants.
Rappelons que les enseignants ont observé le 12 décembre dernier une grève pour lutter contre la violence à l’encontre du corps enseignant.
Le Chef de l’équipe d’orientation de la police du district de la sécurité nationale de Tabarka par ailleurs, ancien chef de sa brigade judiciaire et le chef adjoint du poste de police d’Ain Drahem, ont été emprisonnés lundi dernier pour saisie illégale d’argent par un agent public et 5 autres cadres dans le même secteur ont été déférés au premier juge d’instruction près le Tribunal de Première Instance de Jendouba.
Une source médiatique a annoncé hier que le représentant légal de l’UGTT a fait appel de la décision civile de première instance rendue par la chambre civile du tribunal de première instance de Tunis, qui a invalidé la décision rendue par le conseil municipal des 24, 25 août et le 26 février 2020 appelant à la convocation d’une assemblée exceptionnelle non élective du syndicat.
Il a été décidé de fixer une séance le 24 février 2020 pour commencer à examiner l’appel déposé par l’UGTT.
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