Le président de la République, Kaïs Saïed, a ordonné l’envoi d’une équipe de sauveteurs relevant de la protection civile, composée de 50 agents et cadres de la brigade spéciale des recherches sous les décombres, ainsi que six médecins et 4 chiens de recherches.
Cette équipe se fera aider par l’apport d’un drone et de détecteurs à infrarouge.
L’avocat Samir Dilou a annoncé que le comité de défense a démenti les informations selon lesquelles Mohamed Lamine Chakhari, l’ancien ministre de l’industrie dans le gouvernement Hamadi Jebali a été arrêté. “Mohamed Lamine Chakhari a été auditionné au Pôle auditionné puis il a été convoqué par être auditionné début de la semaine prochaine”, précise Samir Dilou dans un post publié ce matin sur son compte Facebook.
Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Tabboubi, a déclaré, ce samedi, à la TAP, en marge de la tenue du congrès de la fédération générale du transport, que l’UGTT n’appelle ni à la confrontation, ni au chaos, mais appelle à mettre la Tunisie à l’abri des conflits, vus les défis internes et extérieurs qui guettent le pays.
Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Tabboubi, a rejeté les accusations portées à la centrale syndicale, de s’être éclipsée, expliquant que l’UGTT est toujours là, avec ses structures, mais que les stratégies de lutte doivent, parfois changer. Il a ajouté que le silence, qu’on reproche à l’UGTT peut être une forme de militantisme, prenant à témoin le proverbe tunisien qui dit que « si la parole est d’argent, le silence est d’or » !
Le secrétaire général de la fédération des transports de l’UGTT, Wajih Zidi, a annoncé, ce samedi, que le parc des transports en commun dans la zone du grand Tunis, connait un manque flagrant en véhicule.
La Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme a déclaré qu’elle « suivait avec une profonde préoccupation la détérioration continue de la situation dans le pays à différents niveaux, qui se caractérise par l’accélération de la tendance à perpétuer un régime présidentiel individuel qui porte atteinte aux fondements de la démocratie et de l’État de droit et accélère le rythme des restrictions des libertés et des violations des droits.
Tunisie Numérique a mené une série d’interviews auprès des familles tunisiennes pour savoir comment elles gèrent leurs budgets en ces temps de crise que traverse le pays.
Ces tunisiens proviennent de différentes classes sociales, sont d’âges différents et habitent dans des quartiers aussi bien huppés que populaires. Ils ont accepté volontairement de répondre de manière spontanée et anonyme aux questions de Tunisie Numérique. Les récits ont été retranscrits tels quels.
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