La résidence de l’ambassadeur de Tunisie à Khartoum a fait les frais des affrontements armés au Soudan. Le ministère tunisien des Affaires étrangères a fait savoir dans un communiqué émis ce dimanche 18 juin que les lieux ont été saccagés et pillés par des groupes armés…
Le chef de l’Etat, Kais Saied, a conversé avec le président du Parlement, Brahim Bouderbala, vendredi, le 16 juin courant. C’est leur deuxième rencontre en moins d’un mois, pour le même objet ou presque : Rappeler le pré carré des parlementaires et les prérogatives que leur donne la Constitution, fixer les lignes rouges et redire ce que les citoyens attendent de leurs élus. Attention…
C’est la porte-parole du Pôle judiciaire anti-terroriste, Hanen Gueddes, qui l’a confié à l’agence officielle, la TAP, ce samedi 17 juin : le premier juge d’instruction du bureau n°36 aurait barré la route aux médias audio-visuels qui mettent leur nez dans les affaires de complot contre la sûreté de l’Etat. Idem pour les débats dans ces supports médiatiques…
Samir Dilou, un des avocats les plus actifs sur le dossier du complot contre la sûreté de l’Etat – et sans doute le plus bavard dans les médias -, n’a pas tardé à réagir à l’interdiction d’évoquer cette affaire dans les médias audio-visuels. Il a posté un petit texte sur sa page Facebook ce samedi 17 juin…
Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis, a émis, vendredi dernier, un mandat de dépôt à l’encontre du porte-parole du mouvement du 25 juillet, Mahmoud Ben Mabrouk. Et ce pour diffamation et fausses accusation à un fonctionnaire.
Le juge d’instruction près du Pôle judiciaire antiterroriste, chargé de l’enquête sur les réseaux d’envoi des jihadistes aux foyers de tension, a décidé de prolonger la détention préventive d’Ali Laârayedh de quatre mois supplémentaires.
Les agents de la police municipale de Ben Arous ont réussi à saisir une grande quantité de bouteilles d’eau minérale stockées de façon anarchique et non conforme.
Pas moins de 6048 bouteilles d’1.5 litre, ont été saisies à l’occasion de cette opération et 1920 bouteilles de 0.5 litre.
Le syndicat de l’enseignement de base a choisi l’escalade, jusqu’au bout. Jusqu’au bout de l’année, jusqu’au bout de la patience des parents, jusqu’au bout de tout.
Il a, en effet, choisi, à l’issue de la réunion de son instance administrative, ce samedi, de maintenir la mesure de rétention des note, pour le troisième trimestre. Mais, plus encore, il a décidé le boycott des conseils de classe et de toutes les tâches administratives en rapport avec la fin de l’année scolaire.
Les preuves du concours d’entrée dans les lycées pilotes, ou concours de fin des études de base générales et technique, démarrent aujourd’hui, lundi 19 juin, et se poursuivent jusqu’au 21 juin.
Ce concours n’étant pas obligatoire, seuls 32548 candidats, soit 20% des élèves inscrits en neuvième année, ont choisi de le passer.
L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) claironne depuis belle lurette que son projet de sauvetage national est fin prêt et qu’on y trouvera des solutions pratiques pour sortir la Tunisie du bourbier. Le secrétaire général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi, l’a encore martelé ce dimanche 18 juin, à El Hamma, au gouvernorat de Gabès, où il commémorait le 95e anniversaire de la disparition du leader Mohamed Ali El Hammi…
Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Tabboubi, a assuré, ce dimanche depuis Hammamet, que l’Etat a, bel et bien, levé les subventions. Il a expliqué que des responsables de l’Etat assurent que les dépenses des subventions ont régressé. Est-ce qu’il veut dire que le citoyen ne ne mange plus et ne boit plus ? C’est, plutôt, à cause de la rareté de ces produits. Donc, pour lui, les subventions ont été levées sur plusieurs produits.
Le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Sami Tahri, a déclaré, hier dimanche, à partir de Hammamet, qu’ils ont appris que le FMI a demandé de la Tunisie d’introduire des modifications sur sa proposition de demande de fonds, au titre de réformes économiques.
Tunisie Numérique a mené une série d’interviews auprès des familles tunisiennes pour savoir comment elles gèrent leurs budgets en ces temps de crise que traverse le pays.
Ces tunisiens proviennent de différentes classes sociales, sont d’âges différents et habitent dans des quartiers aussi bien huppés que populaires. Ils ont accepté volontairement de répondre de manière spontanée et anonyme aux questions de Tunisie Numérique. Les récits ont été retranscrits tels quels.
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