In June 7th, 2014: the Islamist party Ennahdha celebrates its 33rd anniversary on place of the Kasbah in Tunis. More than 3000 activists are attended what looks like a political meeting, a music and a speech of the founder and the president of the party Rached Ghannouchi. (Photo by Nicolas Fauqu/Corbis via Getty Images)
Le Mouvement Ennahdha a apprécié via un communiqué rendu public sur sa page officielle “le mouvement populaire et politique rejetant la suspension de la Constitution et des institutions de l’Etat” appelant au retour de la démocratie et de mettre fin à l’état d’exception.
Il a exprimé son refus vis-à-vis de la transgression de la Constitution dans le cadre de la formation du nouveau gouvernement tout en rappelant que la perte de légitimité va multiplier les défis auxquels le gouvernement est confronté.
Le parti islamiste a dénoncé le discours diviseur du président de la République, Kais Saied qui alimente selon le même communiqué les conflits et les dissensions, sape l’unité nationale et nuit à l’image de la Tunisie.
Il a mis en garde contre les pressions exercées sur le pouvoir judiciaire appelant au respect de la séparation des pouvoirs afin que ce dernier parvienne à préserver les libertés et les droits fondamentaux.
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