La vice-présidente de L’Organisation de défense du consommateur (ODC), Thouraya Tabassi a affirmé dans une déclaration à l’agence TAP avoir reçu de nombreuses plaintes de familles d’étudiants qui ont eu recours à des cabinets d’intermédiation pour inscrire leurs enfants dans des établissements d’enseignement supérieur à l’étranger.
D’après la même source, certains de ces bureaux ne respectent pas le cahier des charges établi par le ministère de l’Enseignement supérieur. En effet, Le suivi de l’étudiant et de ses conditions de vie dans le pays d’accueil est quasi inexistant, selon bon nombre de parents qui ont accusé les cabinets d’intermédiation d’escroquerie.
Certains étudiants se sont trouvés inscrits dans des établissements universitaires non reconnus par le ministère tunisien de l’Enseignement supérieur. D’autres se sont retrouvés dans la rue en l’absence du logement que les bureaux se sont engagés à garantir.
Tabassi a appelé à recourir à des cabinets d’intermédiation autorisés par le ministère de l’Enseignement supérieur pour éviter les mauvaises surprises.
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