Un nouveau rapport l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), identifie le besoin urgent d’un engagement accru du secteur privé dans le financement des projets de transition énergétique, ainsi que d’une collaboration public-privé plus étroite pour maintenir la trajectoire du zéro net.
La nécessité d’intensifier le déploiement de technologies telles que l’hydrogène vert, le stockage de l’énergie et l’éolien offshore est devenue de plus en plus essentielle au succès de la transition énergétique mondiale et à la réalisation des objectifs climatiques mondiaux.
À cette fin, l’accès à des capitaux à faible coût pour le financement de projets dans les pays membres du G20 et au-delà est vital. Cependant, cela reste difficile – en particulier dans le contexte du resserrement mondial actuel des politiques monétaires – étant donné qu’une partie substantielle des investissements nécessaires dans les technologies de transition énergétique reste à trouver.
Ce rapport, préparé par l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en étroite collaboration avec le ministère des Énergies nouvelles et renouvelables (MNRE) de l’Inde, vise à faciliter la discussion sur cet aspect vital de la transition sous la présidence indienne du G20.
Le rapport offre des leçons tirées des tendances historiques de réduction des coûts des technologies solaires photovoltaïques et éoliennes terrestres, permettant des cadres innovants pouvant être adoptés pour accélérer le déploiement de technologies nouvelles et critiques à faible émission de carbone, et des besoins d’investissement projetés pour la transition énergétique mondiale.
Le rapport souligne également la nécessité de mobiliser les ressources du secteur privé, compte tenu des ressources limitées du secteur public ; l’engagement actif du secteur privé est essentiel, en particulier pour offrir des capitaux à faible coût pour le financement de projets de transition énergétique. Le rôle de catalyseur joué par le secteur public est également discuté dans le contexte de la nécessité d’une collaboration public-privé plus approfondie sur le chemin vers un avenir net zéro.
Enfin, le rapport souligne l’importance de développer une meilleure compréhension des principaux moteurs du coût du capital pour les différentes technologies et marchés.
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