Décidément les choses s’emballent pour Éric Zemmour et à un très mauvais moment. Alors que ses intentions de vote piquent du nez à un mois du premier tour de la présidentielle, le candidat de “Reconquête” pourrait s’ajouter à la longue liste des personnalités que des affaires d’agression sexuelle ont explosées en plein vol…
C’est encore Mediaprt qui a ébruité le méga scandale ce mardi 8 mars. Depuis 2021 le journal recense des témoignages de femmes qui «accusent» le candidat à la présidentielle de «comportements inappropriés et d’agressions sexuelles», rapporte 20 Minutes. Deux articles étaient déjà parus l’an dernier, la suite, avec cette vidéo de 36 minutes où les présumées victimes parlent face caméra, pourrait coûter cher à Zemmour, s’ajoutant à ses autres écarts de conduite et déclarations choc sur les réfugiés ukrainiens…
Claire, qui avait 18 ans à l’époque de la présumée agression dans les locaux du journal Figaro, charge la barque de l’ancien polémiste ; Pascale Sauvage, une ancienne collègue de Zemmour dans le même journal, a déclaré qu’il avait averti l’ancien journaliste : «Je lui ai dit, tu ne touches pas à la stagiaire», «il me dit : “Si maintenant on ne peut plus draguer les stagiaires…“. La décence nous empêche de raconter la suite, tout ce qu’on peut vous dire c’est que le candidat à la présidentielle aurait débité des propos inqualifiables…
Séverine, Gaëlle Lenfant… Au total 8 femmes décrivent des attitudes dignes d’un prédateur sexuel. Le 9 décembre 2021 sur France 2, questionné sur les petites bombes lâchées par Mediapart, Zemmour avait argué ne «pas» devoir «répondre. Je ne parle pas de ma vie privée, ces femmes-là m’accusent, sans aucune preuve, c’est parole contre parole». Face au dernier déballage de Mediapart il n’a pas souhaité répliquer…
Mais ses proches s’expriment, selon eux le journal a été «minable», ils l’accusent de servir du réchauffé avec des accusations de femmes pour des «comportements inappropriés” et “agressions sexuelles» pour lesquels aucune plainte n’a été déposée ou annoncée.«Mediapart veut faire un coup le jour de la journée (des droits) de la femme en recyclant des témoignages déjà sortis l’an dernier. Minable à cinq semaines du premier tour», a asséné la garde rapprochée du trublion de l’extrême droite…
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