Revenant sur la journée de grève observée par les enseignants du primaire et secondaire le vendredi 12 novembre suite à l’agression de leur camarade Sahbi Ben Slama, la centrale syndicale ne semble pas avoir apprécié que les syndicats de l’enseignement n’aient fait qu’à leur tête, malgré ses recommandations.
En effet, l’UGTT avait invité les enseignants à se contenté d’organiser une heure de dialogue avec les élèves sur le refus de la violence et a même publié un communiqué où elle explique qu’elle n’est pas à l’origine de l’appel à la grève qui a été lancé suite à l’agression.
Certains médias ont rapporté que la commission administrative de l’UGTT a décidé de renvoyer les présidents et secrétaires généraux des fédérations d’Enseignement de base et secondaire devant la Commission du règlement intérieur.
Le porte-parole de l’UGTT Sami Tahri a démenti, dans une déclaration accordée à l’agence TAP, cette information, expliquant qu’il était vrai que la commission administrative avait décidé de convoquer les dirigeants des deux fédérations, mais que ces derniers n’ont pas été renvoyés devant la Commission du règlement intérieur.
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