C’est avec une profonde tristesse que nous rendons hommage aujourd’hui à une femme exceptionnelle Faouzia Naamane Triki (fille de Chédlia Bouzgarou), une grande dame dont la disparition laisse un vide immense dans nos cœurs et dans notre société.
Elle était bien plus qu’une figure respectée ; elle était une présence chaleureuse, une âme affable et enjouée qui savait accueillir chacun avec bienveillance et générosité. Son sourire, son sens de l’humour et sa capacité à mettre les autres à l’aise faisaient d’elle une personne inoubliable. Elle aimait les gens, et cet amour lui était rendu avec force et sincérité.
Passionnée d’histoire, elle était une véritable mémoire vivante, une gardienne du passé qui savait transmettre avec clarté et conviction les événements marquants de notre pays. Elle éclairait les débats, nourrissait la réflexion et rappelait l’importance de notre patrimoine commun. Même les sujets encore controversés chez les historiens trouvaient en elle une analyste perspicace et passionnée.
Sa convivialité et sa sagesse rassemblaient autour d’elle des générations entières, avides d’écouter ses récits et d’apprendre de son expérience. Elle nous a enseigné l’importance de la mémoire, du dialogue et du partage.
Aujourd’hui, nous pleurons son départ, mais nous célébrons aussi tout ce qu’elle a été et tout ce qu’elle nous laisse. Son souvenir restera gravé dans nos esprits et dans nos cœurs. Puisse-t-elle reposer en paix, avec la certitude que son héritage continuera à vivre à travers nous.
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