L’activiste Bochra Belhaj Hamida a déclaré aujourd’hui que la Tunisie a régressé en matière des droits de l’Homme.
D’après ses dires, il n’y aura pas d’aides de la part des partenaires étrangers et des créanciers internationaux pour le pays en l’absence du respect des principes des droits de l’Homme. Elle a critiqué, dans le même sens, les discours du président de la République Kais Saied au cours desquels il a attaqué les opposants.
Notre intervenante est revenue aussi sur la crise générale dans le pays et les dangers qui menacent la Tunisie dont la violence et la désinstitutionnalisation.
Hamida dit qu’il est important de mettre en place un processus collaboratif pour résoudre les problèmes actuels du pays appelant les partis politiques qui soutiennent Kais Saied à faire une auto-critique.
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