Les protestations continuent de secouer les villes iraniennes, depuis le décès en détention de la jeune Mahsa Amini, en septembre dernier.
Lors de ces protestations, les forces de l’ordre ont procédé à des centaines d’arrestation, notamment les derniers jours, où les protestations ont regagné de la force à l’occasion de la commémoration du décès de Slimani, et au cours des quels les manifestants ont crié « à mort Khameneï » et « mort à la république islamique ».
Des associations de défense de droits de l’homme ont assuré qu’il y a, en ce moment, dans les prisons iraniennes pus de 100 détenus qui risquent la peine de mort. Précisant que ce nombre est très en deçà de la réalité, vu que des centaines de familles sont obligées de cacher l’arrestation de leurs enfants.
A noter que les tribunaux iraniens ont à ce jour, condamnés à mort 12 protestataires.
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