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L’Algérie ajoute une corde à son arc : les marchés des Travaux publics à l’étranger

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Dans la droite ligne de la diversification de l’économie, le ministre des Travaux publics, de l’Hydraulique et des Infrastructures de base, Lakhdar Rakhroukh, a fait une annonce forte hier lundi 19 septembre : «les institutions algériennes bénéficient de formidables capacités techniques et capacités qu’elles ont acquises durant plus de soixante ans de réalisations, qui leur permettront de remporter des projets à l’extérieur». A noter que Rakhroukh a tenu ces propos en lieu et place du Premier ministre, Aimene Benabderrahmane, qui a d’ailleurs signé ce discours à l’occasion de l’ouverture du 18ème Salon international des travaux publics…

Les travaux publics et les infrastructures de base en tant que «pilier de l’économie et un moteur de développement par excellence», c’est un des nouveaux créneaux du gouvernement algérien. «Un pays qui se caractérise par son développement et ses performances économiques est celui qui possède des réseaux d’infrastructures performants, participe à la structuration et à l’aménagement de son territoire et à la facilitation des processus d’échanges et de circulation des personnes et des biens, ce qui lui assure un développement efficace et durable qui le rend éligible à entrer dans le champ de la concurrence aux niveaux régional et international», dit le texte cité par Algérie 360°.

Le Premier ministre algérien a magnifié «les progrès réalisés par des milliers d’ingénieurs et techniciens diplômés de diverses écoles et universités, qui ont permis la construction de nombreux projets de modernisation et de développement des infrastructures de base du pays». Benabderrahmane est d’avis que le 18e Salon international des travaux publics est «une station appropriée pour mesurer l’étendue des progrès du secteur, que ce soit dans le domaine de routes, autoroutes, installations techniques, ports ou aéroports».

Toujours selon lui cet événement est une «occasion importante pour les moyens nationaux de réalisation et d’études, et une opportunité à saisir pour engager des partenariats et des échanges fructueux avec les nouvelles technologies connues dans le domaine partout dans le monde, ce qui améliorera sans aucun doute les capacités de nos moyens nationaux dans le processus de réalisation aux niveaux national et régional».

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