Dans un communiqué publié ce jeudi 20 mars, le Conseil National de l’Ordre des Médecins a rappelé que la diffamation et le dénigrement publics sont des délits punis par la loi, et que “la liberté d’expression ne saurait être un prétexte pour porter atteinte à l’honneur et à la réputation de la médecine tunisienne”.
Le Conseil National de l’Ordre des Médecins a invité toute personne disposant de preuves fiables et vérifiables à les soumettre aux instances compétentes, afin qu’elles soient examinées conformément aux lois et procédures en vigueur.
“En l’absence de preuves tangibles, ces accusations ne sont rien d’autre qu’une campagne de dénigrement orchestrée, qui nuit gravement à la relation de confiance entre les médecins et leurs patients”, souligne le CNOM.
Et d’ajouter : “Face à ces attaques malveillantes sur les réseaux sociaux, le Conseil National de l’Ordre des Médecins assumera pleinement ses responsabilités et n’hésitera pas à prendre des mesures légales strictes contre toute personne diffusant de fausses informations ou propageant des accusations diffamatoires à l’encontre de la profession médicale”.
Le Conseil a appelé, dans son communiqué, chacun à faire preuve de responsabilité et de retenue dans l’utilisation des réseaux sociaux.
Il a en outre réaffirmé son engagement indéfectible à “défendre l’honneur de la profession médicale et à œuvrer dans le respect de ses principes éthiques, au service des citoyens et de la société”.
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