Isaac Herzog, président israélien, a officiellement annulé sa participation à la 29ᵉ Conférence des Nations Unies sur le climat (COP29), organisée à Bakou, en Azerbaïdjan, jusqu’au 22 novembre. Cette décision intervient dans un contexte de tensions régionales accrues.
Une interdiction de survol turc à l’origine de l’annulation
Selon le site d’information Caliber, la Turquie aurait refusé le survol de son espace aérien à l’avion présidentiel israélien, une décision qui aurait directement conduit à l’annulation de cette visite. Ce refus souligne les frictions croissantes entre Israël et la Turquie, sur fond de désaccords politiques et d’enjeux sécuritaires dans la région.
Une évaluation sécuritaire déterminante
Le bureau du président israélien a, de son coté, justifié cette décision par des considérations sécuritaires. La situation au Moyen-Orient reste tendue, notamment en raison des geuures à Gaza et avec le Hezbollah libanais.
Ces tensions ont conduit à une révision des déplacements diplomatiques d’Israël, même pour des événements majeurs tels que la COP29.
Une situation révélatrice
L’absence d’Isaac Herzog à cette conférence internationale, consacrée à la lutte contre le changement climatique, illustre les répercussions des crises régionales sur Israel .
Cette annulation met en lumière les conséquences géopolitiques auxquels Israël est confronté, même dans des sphères non directement liées à la sécurité, comme le climat. Elle souligne également les tensions croissantes entre Israël et certains acteurs majeurs du monde et qui excle de plus en plus Israel et ses représentants.
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