L’OMS et d’autres organisations ont appelé les autorités libyennes à ne plus procéder à l’inhumation des victimes des inondations dans des fosses communes, ou leur incinération.
L’OMS a assuré que les cadavres ne sont pas porteurs de maladies transmissibles, et peuvent être traités sans urgence.
L’OMS assure que cette pratique va générer, par la suite, de graves problèmes psychologiques chez les survivants et, même, des problèmes éthiques et juridiques.
Elle a appelé à prendre le temps d’identifier les victimes ; et à les inhumer dans des tombes individuelles, avec une bonne documentation des tombes.
Pour rappel, les autorités à Derna avaient annoncé l’inhumation de plus de dix mille cadavres dans trois fosses communes.
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