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L’OMS n’a pas raté l’occasion de se laisser suspecter de connivence avec l’industrie pharmaceutique et parapharmaceutique

L’OMS n’a pas raté l’occasion de se laisser suspecter de connivence avec l’industrie pharmaceutique et parapharmaceutique

Depuis le début de l’alerte épidémique du coronavirus, l’organisation mondiale de la santé n’a pas fini de cultiver, autour de sa direction, des soupçons de connivence avec les industries pharmaceutiques et parapharmaceutiques.

Il faut dire que l’organisation n’en est pas à sa première, puisque déjà à l’occasion de l’alerte à la grippe porcine, elle s’est laissé suspecter de faire les affaires des laboratoires de l’industrie des vaccins. Tout le monde se rappelle, en effet, comment l’organisation a insisté pour distribuer et vendre le vaccin de la grippe saisonnière de l’époque, avant de consentir à fabriquer et vendre le vaccin du virus H1N1. Et la polémique suscitée, à l’époque, a sérieusement entamé la crédibilité de l’organisation.

A l’occasion de l’épidémie actuelle du coronavirus, l’organisation a, encore une fois, attiré sur elle les critiques de toutes parts, de par sa façon de gérer l’épidémie. Il faut reconnaître, à sa décharge, que la maladie et son évolution, ont coiffé tout le monde au poteau. Toutes les interventions se sont faites dans la cacophonie l’hésitation et les contradictions.

Et ce sont les annonces, les décisions et les directives contradictoires de l’organisation qui ont vite fait de la mettre au banc des accusés.

En effet, l’OMS s’est illustrée par son silence total et son absence du débat qui a animé la sphère médicale mondiale concernant les traitements proposés par certaines équipes, comme les différents protocoles à la chloroquine, et elle s’est  cantonnée à assurer qu’il n’y aurait aucun vaccin ni traitement spécifique avant plusieurs mois. Ce qui lui a valu d’être cataloguée comme étant à la solde des industries pharmaceutiques et des super puissantes multinationales du médicament.

Ensuite, çà a été cette histoire de revirement par rapport à l’utilité de l’usage des masques de protection. En effet, au départ, l’OMS a déconseillé le port de ces masques, assurant qu’ils ne servaient à rien. Mais voilà que cette même organisation revient sur ses déclarations et préconise le port obligatoire des masques pour toute la population mondiale, après la période de confinement sanitaire qu’elle a imposée à toute l’humanité. Le calcul est ahurissant, puisqu’il faudra, au moins trois à quatre masques par jour, à multiplier par le nombre de personnes sur terre… Cela donne un chiffre qui laisse, forcément, quelques uns douter des probables motivations pécuniaires, pour l’OMS, derrière cette nouvelle directive.

Par ailleurs, il y a cette menace que ne cesse de brandir l’OMS, concernant le retour de l’épidémie après l’été, qui donne à réfléchir. Car l’OMS prétend que le virus ne conférerait pas une immunité à ceux qui l’ont contracté, contrairement aux résultats des études faites un peu partout dans le monde, sur les sérums des malades qui ont pu mettre en évidence la présence de nombreux anticorps anti Covid et qui ont une bonne efficacité dans l’inhibition de l’introduction du virus dans les cellules.

 

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