Des composantes de la société civile dont La ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH), le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET), l’Association “Al Bawsala” et l’Organisation “Avocats sans frontières” ont dénoncé l’instrumentalisation des appareils sécuritaire et judiciaire en vue de réprimer les protestations populaires « pacifiques ».
Elles ont exprimé leur solidarité avec les personnes qui ont été traduites devant la justice « arbitrairement » appelant les jeunes à poursuivre les mouvements protestataires et ce, dans le cadre du respect de la loi et la préservation des biens publics et privés.
Elles ont, dans le même cadre, condamné le recours à la force ainsi que les arrestations « arbitraires » des activistes.
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