L’Italie est devenue le premier pays d’Europe à introduire des « laissez-passer verts » pour tous les employés.
Depuis la mi-octobre, environ 23 millions de personnes doivent confirmer qu’elles sont vaccinées ou testées négatives pour le coronavirus, ou qu’elles ont eu le covid.
Les autorités pensent que cette décision aidera à convaincre environ quatre millions d’Italiens qui n’ont pas encore été vaccinés de se faire vacciner.
Ceux qui ne sont pas d’accord encourent une amende pouvant aller jusqu’à 1 500 euros et une suspension du travail. Selon les sondages, la majorité des Italiens soutiennent la décision des autorités. Le gouvernement italien envisage également la possibilité d’introduire des vaccinations obligatoires.
Avec le pacte Aukus, dont la France est exclue, Paris voit s’envoler un contrat de plus de 50 milliards d’euros, qui prévoyait la livraison à l’Australie de 12 sous-marins à propulsion conventionnelle. En vertu du nouvel accord, Canberra mise désormais sur des sous-marins nucléaires, dont la technologie sera fournie par les États-Unis et le Royaume-Uni.
La France n’était pas la seule à voir rouge après l’annonce du pacte Aukus. La Chine, clairement visée par cette nouvelle alliance militaire, a jugé la décision “extrêmement irresponsable”.
La coopération autour des sous-marins nucléaires de l’Australie va “ébranler la paix et la stabilité régionales, intensifier la course à l’armement et porter un coup aux efforts de non-prolifération nucléaire”, a affirmé Pékin.
Suite à la rupture du contrat du siècle, l’ambassade de France à Washington a annoncé l’annulation d’un gala prévu pour aujourd’hui à Washington.
Selon la même source, la réception était censée fêter l’anniversaire d’une bataille navale décisive de la guerre d’indépendance des Etats-Unis.
Du 17 au 19 septembre, quelque 108 millions de Russes sont appelés aux urnes pour élire les 450 députés de la chambre basse du Parlement, la Douma.
L’essentiel de l’opposition anti-Poutine a été banni du scrutin, apogée de mois de répression entamés avec l’arrestation de sa figure de proue, Alexeï Navalny, alors qu’il rentrait en Russie en janvier après un empoisonnement dont il accuse le Kremlin.
L’ensemble de son mouvement a depuis été interdit pour “extrémisme” et nombre de ses alliés de premier plan ont été contraints à l’exil, assignés à résidence ou interdits de candidatures.
Le parlement européen a demandé à l’UE de se tenir prête à ne pas reconnaître la légitimité de ces scrutins s’ils violent les principes démocratiques et le droit international.
Dans le texte adopté jeudi qui appelle à adopter de nouvelles stratégies pour promouvoir la démocratie en Russie, le Parlement européen tient à préciser qu’il fait la différence entre le peuple russe et le régime du Président Poutine. Le régime Poutine étant qualifié de “kleptocratie autoritaire en stagnation dirigée par un Président à vie entouré d’un cercle d’oligarques”.
Les deux géants du web Google et Apple ont supprimé aujourd’hui l’application liée à Alexeï Navalny, opposant à Vladimir Poutine.
Il s’agit d’une application qui encourage le vote contre les candidats du Kremlin aux législatives.
Selon des médias internationaux, cette décision a été prise après avoir subi des pressions faites par le Kremlin.
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