L’administration du président Biden fera don de 60 millions de doses de vaccin AstraZeneca à d’autres pays, dès que les médicaments seront disponibles.
La porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki a déclaré que les États-Unis n’avaient pas besoin d’utiliser AstraZeneca dans les prochains mois, car trois autres vaccins sont autorisés et disponibles en grandes quantités dans le pays.
Le gouvernement américain a été critiqué pour avoir stocké le vaccin anti-covid alors que d’autres pays en ont désespérément besoin.
Le vaccin AstraZeneca, dont des millions de doses sont stockées aux États-Unis, n’est pas utilisé en raison du manque d’approbation officielle du régulateur américain.
Un certain nombre de pays ont choisi de ne pas utiliser ce vaccin en raison du faible risque de formation de caillots sanguins après la vaccination; dans les pays où il est utilisé, des restrictions d’âge ont été introduites pour son utilisation.
Un total de 4.731.440 personnes a reçu la première dose du vaccin contre la COVID-19, a indiqué lundi le ministère marocain de la Santé dans son bulletin quotidien, précisant que 4.219.876 personnes se sont vu administrer la deuxième dose du vaccin.
L’agence de régulation sanitaire du Brésil s’est opposée lundi soir à la demande de plusieurs Etats du pays d’importer le Spoutnik V.
La Russie dénonce un refus “politique” du Brésil contre son vaccin, qui a été autorisé par plus de 60 pays, selon l’institut Gamaleïa qui l’a créé.
Des experts ont fait valoir des “incertitudes” sur le vaccin russe qui n’a toujours pas été approuvé par les agences sanitaires européennes et américaines.
La Turquie se confine jeudi soir jusqu’au 17 mai. Le pays a enregistré lundi plus de 37.000 nouveaux cas de Covid-19 et 353 décès.
Tous les commerces et entreprises non-essentiels seront fermés pendant ce confinement qui couvre la fête musulmane de trois jours marquant la fin du mois de jeûne du ramadan.
Rome a qualifié lundi la décision de la Russie d’expulser un diplomate italien de son ambassade à Moscou “d’infondée et injuste”, via un communiqué publié sur le site Internet du ministère italien des Affaires étrangères.
De son coté, le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué que cette décision a été prise en réponse à l’expulsion “inamicale” et “sans fondement” de deux membres du personnel de l’ambassade de Russie à Rome le 31 mars, qui, selon l’Italie, était due à leur implication présumée dans une affaire d’espionnage.
L’occasion pour la présidente de la Commission européenne de porter un vibrant plaidoyer pour les droits des femmes.
”Je suis la première femme présidente de la Commission et je voulais être traitée comme telle. Il n’y a pas de justification dans les traités à ce qui s’est produit. C’est arrivé parce que je suis une femme. Je n’ai jamais vu de pénurie de fauteuil par le passé. Je me suis sentie blessée, seule, comme femme et comme européenne. Il ne s’agit pas d’une question de protocole. Cela touche au plus profond de nos valeurs et montre le chemin qui reste à parcourir encore pour les femmes.”
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