Italie: Le PM italien reçoit une injection du vaccin AstraZeneca contre le COVID-19
Le Premier ministre italien, Mario Draghi, a reçu mardi sa première dose du vaccin AstraZeneca contre le coronavirus, ce même produit dont son gouvernement avait décidé de suspendre provisoirement l’utilisation en début du mois.
M. Draghi et son épouse Maria Serenella Cappello, tous deux âgés de 73 ans, se sont fait inoculer le vaccin dans un établissement de santé de Termini, la gare centrale de Rome.
Allemagne: Interdiction de l’usage du vaccin AstraZeneca pour les moins de 60 ans
L’utilisation du vaccin AstraZeneca sera réservée à partir de ce mercredi aux personnes âgées de plus de 60 ans, ont annoncé les autorités sanitaires allemandes. Cette décision survient après de rares cas de formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées.
Plusieurs pays ont suspendu l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca pour les tranches d’âge inférieures, dont la Suède, la Finlande, l’Islande et la France. Lundi, le Canada l’avait suspendu chez les personnes de moins de 55 ans.
Pfizer/BioNTech annoncent une efficacité “de 100%” de leur vaccin chez les 12-15 ans
Un premier lot des vaccins arrive au Yemen
Le Yémen, a reçu mercredi un premier lot de vaccins contre le Covid-19, par le biais du mécanisme Covax,
Cette cargaison de 360.000 doses du vaccin AstraZeneca fait partie du programme de “1,9 million de doses” que le Yémen devrait recevoir en 2021.
Macron, Merkel, et Poutine échangent sur le vaccin Spoutnik V
Lors d’une vidéoconférence mardi, Angela Merkel, les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine ont discuté d’une éventuelle coopération sur les vaccins, en fonction de l’état d’avancement de l’examen du vaccin russe Spoutnik V par l’Agence européenne des médicaments, a indiqué l’Élysée dans un communiqué.
14 pays critiquent vivement le rapport de l’OMS sur l’origine du virus et accusent la Chine de retenir les données
Les États-Unis, le Royaume-Uni et douze autres pays ont vivement critiqué mardi dans une déclaration commune le rapport de l’OMS sur l’origine de la pandémie de Covid-19, accusant implicitement la Chine de “refuser l’accès à des données et des échantillons complets et originaux”.
Le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a admis mardi que l’enquête n’avait “pas été assez approfondie” et que les experts avaient eu du mal à accéder aux informations brutes lors de leur visite de quatre semaines à Wuhan en janvier.
La Chine réfute la déclaration commune de quatorze pays sur le rapport de l’OMS
La Chine a réfuté mercredi une déclaration conjointe des Etats-Unis et de treize autres pays exprimant leurs “préoccupations” concernant le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les origines du COVID-19, a déclaré Hua Chunying, porte-parole du ministère des Affaires étrangère, ajoutant que cela prouvait le manque de respect de certains pays envers la science et leur manipulation politique de la question du traçage de l’origine du virus.
Une nouvelle fonctionnalité permettant de limiter les commentaires intervient après une décision de justice australienne qui a conclu que les organes d’information étaient responsables des commentaires sur leurs pages, rapporte The Guardian
Facebook permettra à chaque utilisateur, y compris les célébrités, les politiciens, les marques et les organes de presse, de déterminer qui peut ou ne peut pas commenter ses publications.
Le géant des médias sociaux a annoncé mercredi que lorsque les gens publieront sur Facebook, ils pourront contrôler qui commentera le message, allant de tous ceux qui peuvent voir le message à ceux qui ont été tagués par le profil ou la page du message.
Ceci ressemble beaucoup à un changement récemment introduit par Twitter pour limiter le nombre de personnes pouvant répondre aux tweets.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a appelé mardi à un accord juridiquement contraignant sur le remplissage et l’exploitation du Grand barrage de la renaissance en Ethiopie (GERD) construit sur le Nil.
“Personne ne peut prendre une seule goutte d’eau à l’Egypte”, a déclaré le président dans des propos retransmis à la télévision lors de sa visite du Centre de formation et de simulation maritime de l’Autorité du canal de Suez à Ismaïlia.
“Nous ne menaçons personne. Nous avons toujours cherché un dialogue rationnel et patient”, a-t-il ajouté, soulignant que les demandes de l’Egypte “sont conformes aux lois internationales concernant les questions de ressources en eau transfrontalières”.
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