Dans une déclaration datant du 28 septembre 2021, le député indépendant Mongi Rahoui, a estimé qu’avant le 25 juillet la situation était d’une absurdité telle qu’il fallait recourir à des moyens peu conventionnels pour pouvoir dépasser les dommages que le pays avait subi durant cette « décennie noire ».
Il a exprimé son étonnement par rapport à la position de certains partis qui dénonce une dictature probable alors que la Tunisie était déjà sous la dictature, estimant que ces partis auraient dû se tenir du coté de la légitimité populaire.
Rahoui a également estimé que les dispositions constitutionnelles ont été enfreintes à maintes reprises du temps d’Ennahdha, estimant que le 25 juillet le peuple était descendu dans la rue en vue d’imposer sa souveraineté.
Il a toutefois appelé le président de la République à annoncer des délais précis auxquelles les mesures exceptionnelles prendront fin afin d’estomper les craintes que pourraient avoir certaines parties.
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