Ali Ammar, délégué régional du développement agricole à Nabeul, a déclaré au correspondant de Tunisie Numérique que la stratégie actuelle pour pallier le manque critique d’eau d’irrigation ne se limite pas aux cultures hydroponiques, bien qu’elles constituent une solution parmi d’autres.
Il a souligné la nécessité d’alternatives adaptées aux petits agriculteurs, telles que l’utilisation des eaux traitées et le dessalement de l’eau de mer.
Il a également indiqué que des forages sont en cours pour soutenir les petits exploitants, en complément d’une étude portant sur la création de cinq nouvelles stations de traitement des eaux usées dans la région. Ces stations seront intégrées dans le cadre agricole, d’autant plus que le coût du dessalement de l’eau de mer reste élevé par rapport aux autres solutions envisagées.
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