Incarnant la jeunesse et l’ambition, Nizar Chaari est assurément le candidat le plus atypique à la primature.
Si le choix peut paraître bizarre, tant l’homme n’est pas connu pour ses affiliations politiques, il peut s’expliquer par sa proximité avec les jeunes et surtout par sa “grinta” qu’il aime tant transmettre à ses acolytes à travers les Clubs Tunivisions qu’il a créés.
Homme de média, visionnaire et avant-gardiste, il s’est armé de son volontarisme et de son tempérament de battant pour s’approcher des jeunes et de cette génération Z dont le digital occupe tout l’espace.
Du haut de ses 42 ans et fort d’une longue expérience associative auprès des étudiants, il est surnommé Monsieur Digital par les jeunes qui le côtoient à travers les Clubs Tunivisions et qui l’adulent pour ce qu’il entreprend et surtout pour la “grinta” et les ondes positives qu’il transmet.
Loin des forfaitures politiciennes et du folklore partisan, Nizar Chaari incarne comme Kais Said l’anticonformisme et le volontarisme. Conscient du poids des jeunes et de leur importance dans l’avenir du pays, il veut transformer la Tunisie en Silicon Valley pour en faire un vivier de la nouvelle économie numérique, générateur de richesse et surtout pourvoyeur d’emplois pour des milliers de jeunes en perdition.
Novateur, il veut comme le Président de la République Kais Saïd, réinventer la politique en investissant les espaces de débats traditionnels et en misant sur la proximité, le pragmatisme et la real politic à travers les réseaux sociaux et les nouvelles technologies.
Mouna Ben Abderhmen
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