Avant toute chose, toute notre compassion avec le peuple syrien et le peuple turc.
Un séisme d’une magnitude peu commune frappe la Syrie et la Turquie. Un drame humanitaire immense. Les successives répliques sismiques font craindre une la propagation de l’onde de choc à toute la région. Alerte maximale dans une partie du monde hautement stratégique et à fortes turbulences qui ne fera qu’exacerber sur fond de guerre en Ukraine les tensions entre les Russie et les States et leurs États vassaux respectifs ( UE comprise).
Voilà pour l’essentiel.
Ici, il est question de changement à la tête des Affaires étrangères. Du très accessoire à ranger sous la rubrique « insifignant ».
On ne sait pas si c’est un limogeage mais le départ de Othman Jerandi des Affaires étrangères ne peut pas ne pas être lié aux secousses sismiques. La Tunisie en a peut être fait trop et trop vite en dépêchant de l’aide humanitaire à une Syrie sous embargo international. Un élan tout naturellement trop peu du goût des States.
Peut-être bien. Mais qui était déjà Othman Jerandi sinon l’ombre de lui-même. Les Affaires étrangères, la diplomatie, c’est Carthage et plus que jamais, comme tout du reste…
Le tout fraîchement installé à Tunis, en Tunisie, l’ambassadeur américain son Excellence Joey Hood compte les points du bulletin de l’élève Kais Saïd…
Jawhar Chatty
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