Giorgia pleurera sans doute Silvio. Ses turpitudes. De son temps, l’on gérait vaille que vaille les flux migratoires mais il n’y avait pas tout à fait péril comme paraît est le cas aujourd’hui et encore plus demain. En ces temps, la Tunisie n’était pas encore tout à fait un pays passoire.
La veille de la mort de Silvio, Le Cavaliere, Giorgia scrutait l’horizon depuis la grande baie du palais de Carthage. Elle a pu mesurer la noirceur de la grande Méditerranée tellement saturée de petites embarcations de migrants.
L’horreur .
Jawhar Chatty
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