Un poète transcendant. Aux strophes imprégnés de Soufisme et respirant l’enfance. Natif de l’éternelle et grande mythique cité de Kairouan. C’est tout dire.
Mohamed Ghozzi n’est pas mort. Les grands poètes ne meurent pas.
Kairouan est cependant triste. La Tunisie est triste. C’est cette Tunisie qui accompagnera aujourd’hui le poète jusqu’à sa dernière demeure.
Aux grands hommes…
Jawhar Chatty
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