Mais nous sommes dans l’arrogance , on hausse le ton , on envoie au diable les grandes chancelleries. On crie à l’ingérence étrangère dans nos affaires, mais on oublie que l’on compte peu pour ces mêmes chancelleries et cependant que nos caisses sont vides. Que l’attente sociale est immense et que le populisme ne nourrit pas une famille.
En rendant compte au président de sa rencontre avec les représentants du G7 à Tunis, au sujet du CSM et d’autres dossiers, le ministre des Affaires étrangère, un grand diplomate, aurait pu et dû attirer l’attention du président sur cette vitale interdépendance avec l’Occident. Il ne l’a pas fait.
Le Président n’est pour autant pas seul. Il faudrait seulement qu’il écoute les grands et vrais patriotes.
Jawhar Chatty
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