Nous aurons bien sûr besoin du grand Ibn Khaldun. Le premier grand tunisien à avoir diagnostiqué le mal tunisien. A avoir décelé et écrit noir sur blanc l’origine du mal tunisien : la servilité consentie, la petitesse et la filouterie sont des caractères dominants des ‘ autochtones’.
Pour nous redresser et mettre le pays enfin sur les rails de la modernité et du progrès, il nous faudra à dire vrai peu de choses du moment que nous avons la bénédiction de Dieu. Les abondantes pluies de ces derniers jours sont un signe qui ne trompe pas.
Nous aurions donc besoin de, on cite dans le désordre, afin de ne contrarier aucune corporation, d’anticiper et d’éviter les éventuels malentendus, susceptibilités et compagnies…
- Deux grands urbanistes/ architectes
- Deux grands Ponts &Chaussées/ Arts et Métiers
- Deux grands médecins / chirurgiens
- Deux grands thérapeutes / psychanalystes un peu de l’étoffe du grand Sigmund et du petit Lacan
- Des avocats, pas besoin
- Des juristes, non plus, à la limite un constitutionnel expéditif
- Surtout pas de médias, ils pourrissent tout
- Un ou deux philosophes, ou plutôt penseurs rarement familiers des plateaux…
- Surtout pas d’experts en tout
Important :
- Ne pas impliquer le peuple dans cette grande et exaltante entreprise, il peut à tout moment tout corrompre et tout faire capoter…
- Éviter au maximum les Directoires ( quatre Tunisiens réunis autour d’une table, il s’en trouvera toujours un pour ‘ comploter’, du moins médire…)
Et , il va de soi, de cet extraordinaire potentiel des jeunes tunisiens.
Bon vent !
Jawhar Chatty
Que se passe-t-il en Tunisie?
Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!

Commentaires