middle-aged bald man in suit wearing glasses looking at camera smiling confident showing ok sign standing over pink background
Divorce, licenciement, pandémie… Que peuvent avoir en commun ces événements ?
Tous sont des déclencheurs de croissance intérieure. Mais pour évoluer, il faut traverser des crises.
Les crises de vie peuvent survenir pour différentes raisons. On peut les diviser en deux grandes catégories :
C’est une crise que nous choisissons volontairement : déménagement, divorce, changement de carrière.
Elle est souvent plus facile à vivre, car elle découle de décisions mûrement réfléchies.
Cependant, même en planifiant tout, la transition reste difficile. Car toute évolution importante exige de sortir de sa zone de confort.
C’est une crise qui nous prend au dépourvu : licenciement imprévu, trahison d’un partenaire, pandémie mondiale.
Ces situations inattendues génèrent une avalanche d’émotions intenses : anxiété, colère, peur, solitude, impuissance.
Nous avons tendance à amplifier la gravité de ce que nous vivons, à perdre nos repères, à craindre l’avenir.
La clé est de se recentrer sur ce qui reste inchangé :
Vous vivez toujours dans le même foyer ?
Vous êtes entouré des mêmes proches ?
Vous avez encore un travail ?
Se rappeler ces constantes réduit l’angoisse.
Pour cela, respirez profondément, reconnectez-vous à votre corps, observez votre environnement immédiat… et revenez au présent.
Quand l’incertitude règne, notre cerveau veut tout prévoir, quitte à imaginer les pires scénarios.
Résultat : nous nous épuisons à chercher des certitudes… là où il n’y en a pas.
Plutôt que d’anticiper des catastrophes, concentrez-vous sur ce que vous pouvez contrôler.
Suivez les recommandations des experts, restez prudent, mais évitez les excès d’anticipation qui alimentent l’anxiété.
S’inquiéter pour ses proches est naturel.
Mais ressasser des hypothèses dramatiques (« Et si… ») aggrave votre mal-être sans fondement réel.
Restez connecté aux faits et éloignez-vous des scénarios catastrophes inventés par votre esprit.
S’informer, oui. Se noyer sous les nouvelles anxiogènes, non.
Limitez votre exposition aux actualités.
Ne participez pas aux conversations alarmistes.
Ne relayez pas d’informations non vérifiées.
Moins d’informations anxiogènes = moins de stress inutile.
Rester optimiste ne signifie pas nier la réalité.
Il s’agit d’accepter la situation telle qu’elle est, tout en cherchant des sources de joie au quotidien.
Riez, lisez des livres légers, regardez des émissions divertissantes.
L’humour est un excellent antidote contre l’angoisse.
Identifiez ce que vous ressentez : peur, colère, tristesse…
Accueillez vos émotions sans jugement.
Exprimez-les par écrit, par la parole, ou avec l’aide d’un professionnel si nécessaire.
Reconnaître vos émotions est un premier pas vers l’apaisement intérieur.
Les périodes de crise, qu’elles soient choisies ou subies, sont des étapes naturelles du changement.
En restant connecté au présent, en filtrant les informations et en écoutant ses émotions, on traverse la tempête avec plus de résilience.
N’oubliez pas : l’anxiété n’est pas un échec de votre esprit, c’est une alarme intérieure qui mérite d’être entendue, comprise, et apaisée.
C’est ainsi que commence votre véritable renaissance.
Laissez un commentaire