Le dirigeant du parti Al Amal Ridha Belhaj a déclaré aujourd’hui suite à l’annulation de la conférence de presse organisée par le Mouvement “citoyens contre le coup d’Etat” que les atteintes aux libertés ont commencé le lendemain du 25 juillet. D’ailleurs les décisions relatives aux assignations à résidence et aux interdictions de voyage le prouve, a-t-il ajouté.
Le politicien a dénoncé ce qu’il a considéré comme étant du harcèlement de certaines personnalités politiques en raisons de leurs idéologies et opinions, et ce dans un but purement revanchard.
il a dans la même optique condamné les arrestations, les poursuites judiciaires infligés à des députés dont certains ont même été appelé à comparaître devant des instances militaires pour leurs opinions.
Ridha Belhaj est par ailleurs revenu sur la fermeture de certaines chaînes télévisées, estimant que ceci était inacceptable.
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