L’économiste, Ridha Chkoundali a assuré que les banques et les instituions financières sont les plus concernées par la souscription nationale et que les personnes physiques participent qu’ à seulement 1 % dans cette opération, ce qui représente un taux de participation très faible.
S’exprimant ce jeudi 3 mars 2022 à Tunisie Numérique, Chkoundali a précisé que la participation des tunisiens n’était pas importante à la souscription nationale et que seules les banques tunisiennes ont bien contribué et ont financé le secteur privé surtout avec la baisse des investissements privés en Tunisie.
Il a, encore, assuré que vu la situation économique, l’Etat serait incapable de rembourser ses dettes auprès des banques expliquant que le financement des dépenses publiques à travers ces banques, demeure un danger pour ces institutions financières qui ont prêté main forte au gouvernement.
Il a, dans ce sens, évoqué que le gouvernement tunisien n’a pas bien avancé en matière des négociations avec le fonds monétaire international ( FMI) et que le financement des banques pour l’Etat engendrera des répercussion négatives.
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