Intervenant en marge d’une conférence de presse, la vice présidence du conseil de l’ordre judiciaire Saida Chebbi a commenté la possibilité de dissoudre le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM).
Chebbi a dénoncé toute forme d’ingérence dans le pouvoir judiciaire via des décrets présidentiels exprimant son attachement aux textes constitutionnels.
Révélant que le CSM constitue un acquis très important, la responsable a révélé que les magistrats étaient les premiers à ouvrir les dossiers dans le cadre de la lutte contre la corruption. Et d’ajouter qu’une correspondance a été envoyée à l’inspection générale à ce propos.
Chebbi a profité de la même occasion pour dénoncer la pression exercée sur les juges ajoutant que les corps judiciaires sont ouverts aux idées nouvelles quant aux réformes qui pourraient être mises en place.
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