Comme il le faisait du temps du dictateur syrien déchu, Bachar al-Assad, Israël continue d’agir à sa guise et impunément dans ce pays souverain. Il frappe où bon lui semble, brandissant divers prétextes fallacieux. Le rythme s’accélère même pour détruire toutes les capacités militaires de la Syrie, au motif que l’Etat hébreu combat des menaces fantasmées qu’il est le seul à voir. Toutes ces attaques accroissent l’insécurité du pays, pendant que le président provisoire,…, fait ce qu’il peut face aux immenses défis qui sont les siens.
L’armée israélienne a annoncé hier vendredi 21 mars dans la soirée avoir bombardé deux bases militaires dans le centre de la Syrie, dont une à Palmyre. Tsahal a confirmé les informations livrées par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) sur des assauts aériens israéliens sur l’aéroport militaire de cette ville.
Les tirs israéliens ont ciblé des capacités militaires stratégiques restantes dans les bases militaires syriennes de Tadmor (Palmyre, ndlr) et T4 (base aérienne de Tiyas, à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Palmyre), précise le communiqué militaire de Tel-Aviv…
On en est là : La terreur installée dans la durée au sud du Liban, des horreurs continuelles à Gaza et une population syrienne martyrisée même après le départ de son bourreau. Ni la résistance citoyenne intérieure, ni les institutions israéliennes et encore moins le «meilleur ami» que l’Etat hébreu ait jamais eu à la Maison-Blanche [Donald Trump] n’arrêteront la fuite en avant sanglante du Premier ministre Benyamin Netanyahu.
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