Alger se serait bien passé de cette mauvaise publicité. En effet dans le rapport annuel sur les villes où il fait bon vivre, établi par le célèbre magazine britannique The Economist, la capitale de l’Algérie pointe à la 136e position sur 140 villes passées à la loupe à travers le monde…
Alger doit cette place que personne ne lui envie à ses mauvais indicateurs en matière de stabilité et de sécurité, d’accès aux soins de santé, d’offre culturelle et de qualité de l’environnement, d’éducation et d’infrastructure. Dans cette étude élaborée par The Economist Intelligence Unit et intitulée “The Global Liveability Index 2021″, la capitale algérienne est passée à côté des 30 critères établis pour attester de la qualité de vie dans les grandes villes du monde.
La ville d’Auckland, en Nouvelle Zélande, est sur le toit de la planète avec un score de 96 points sur 100. Damas, capitale de la Syrie, défigurée par 10 ans d’une sanglante guerre civile, figure au dernier rang mondial.
Enfin sachez qu’Alger fait beaucoup moins bien que ses voisins. Tunis malgré tous les déboires de l’après-Révolution occupe le 110ème rang mondial avec un score de 53 points sur 100, autant dire une performance au regard de la conjoncture actuelle. Casablanca (Maroc) parvient à se hisser à la 114ème place mondiale avec un score de 51,2 points sur 100…
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