Depuis le 26 janvier, plus de 7.700 tremblements de terre ont frappé la zone maritime entre Santorin et Amorgos, transformant la carte postale paradisiaque en un territoire marqué par l’incertitude et la peur.
Face à cette instabilité, la Grèce a décrété l’état d’urgence sur l’île, une mesure exceptionnelle prolongée jusqu’au 3 mars. Les autorités n’ont eu d’autre choix que d’ordonner l’évacuation de plus de 11.000 habitants, contraints de quitter leur maison, leur histoire, leur terre.
Les écoles de plusieurs îles des Cyclades ont été fermées, et l’incertitude plane : nul ne peut prédire ce que l’avenir réserve à Santorin.
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