Des étudiantes à la Faculté des Sciences Juridiques, politique et sociales de Tunis ont observé hier une journée de colère contre le harcèlement sexuel.
Elles ont dénoncé la culture patriarcale qui permet aux violeurs et aux harceleurs d’échapper aux sanctions prévues par la loi et qui en contre partie n’hésite pas à humilier les victimes d’agressions sexuelles et à les culpabiliser.
Le harceleur peut-être n’importe qui, un étudiant, un agent de police, ou même un magistrat, ont-elles chanté, dénonçant la manière avec laquelle les victimes d’abus sexuel sont accueillies par les personnes censées les protéger.
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