Presque pas un jour ne passe, sans que la région de Kairouan enregistre un cas de suicide, si ce n’est pas deux ou plus. Mais on dirait que le compteur macabre ne suscite aucun intérêt chez les autorités régionales ou nationales, qui se contentent de classer ces drames dans les faits divers, au lieu de se pencher sur le sujet, d’en connaitre les causes profondes et de faire en sorte de les traiter.
Le dernier cas date d’aujourd’hui, avec le décès d’une jeune fille originaire de Bouhajla, après avoir avalé du poison raticide.
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